« Celui qui ouvre une école, ferme des milliers de prison ». (Victor Hugo).
Création et soutien écoles :
- Un collège près de la périphérie de la capitale qui accueille des enfants du secondaire jusqu’en terminale. Création d’une cantine, afin d’éviter les grands déplacements pour certains enfants.
- Une école primaire en brousse dont les villageois ont été participants dans la construction de l’établissement qui accueille aujourd’hui 190 enfants.
- Participation de l’achat d’un terrain pour futur collège en brousse.
- Soutenir cette école pour 10 euros par mois
- Soutenir un instituteur pour 70 euros par mois
Un tiers des enfants vont à l’école. Le chemin vers l’école est pavé d’embûches, surtout pour les petites filles.
Les causes :
- Manque d’enseignants et d’infrastructures scolaires.
- Mauvaise alimentation diminuant leur capacité d’apprentissage.
- Manque d’accès aux écoles.
- Aléas climatique.
- Pauvreté géographique.
- Mariages forcés : Le Burkina affiche le cinquième taux le plus élevé au monde pour les mariages d’enfants, avec une fillette sur deux mariée avant ses 18 ans et une sur dix avant ses 15 ans. « Les parents préfèrent investir dans l’éducation des garçons, car la fille est considérée comme une “étrangère” qui devra partir vivre dans une autre famille et s’occuper des tâches ménagères » (Monde Afrique : 30/12/2019)
- Les filles de cultivateurs sont souvent destinés au travail des champs et les tâches ménagères et plus de 60 % de la population est analphabète.En effet, un enfant sur deux doit travaillé pour subvenir aux besoins de la famille : les garçons vers les travaux de la terre, la mine…et les filles quittent le foyer familial pour devenir domestiques dans des familles plus aisées, mais hélas elles sont souvent exploitées.
- L’insécurité.