L’eau, c’est la vie. C’est une ressource au centre du développement.
27% de la population ne dispose pas d’eau.
6o% ne possèdent pas d’installations sanitaires.
L’accès à l’eau se raréfie.
- Suite aux aléas climatiques : la saison sèche dure huit mois et donc la population souffre, car sans eau les greniers sont vides. Aujourd’hui nous voyons des fortes pluies causant des inondations, mais aussi de grandes sécheresses.
- Insécurité : dans certaines parties du territoire, les femmes (qui souvent parcourent plus de 5 heures de marche) n’ont plus la possibilité de récupérer l’eau d’où certaines craintes : risque de qualité de l’eau, hygiène, épidémie dues aussi à une forte concentration de la population, sans oublier le quotidien : boire, le lavage des mains, la lessive, la cuisine…
- Il ne pleut pas actuellement sur le pays. 1,9 million de personnes seraient en manque d’eau au Burkina Faso,. Comme le nombre de déplacés dans le pays a été multiplié par dix l’année dernière, atteignant plus de 700 000 personnes aujourd’hui, Les Burkinabè fuyant les violences se concentrent dans certaines zones du pays, provoquant des tensions autour de l’accès à l’eau. Comme l’accès à l’eau se raréfie, la distribution de l’eau potable devient très compliquée.
Ces deux forages sont placés près des écoles et des villages.
L’association souhaiterait un troisième puits pour le dispensaire :
Possibilité de faire en deux étapes :
- forage du puits : 2800 euros
- margelle : 2400 euros
- total : 5200 euros